Jack Ledru, né en 1922, est installé depuis les années soixante à Athée sur-Cher

Il effectue ses études musicales au Conservatoire de Paris où il remporte un prix de piano. Il commence sa carrière artistique en accompagnant les plus grandes vedettes de la chanson (Georges Guétary, Lucienne Delyle, Suzy Delair, Charles Trenet…). Puis il compose des chansons dont certains titres demeurent célèbres : Téléphonez-moi chérie, Sensual, À la Française, etc. Il écrit des pièces instrumentales et vocales et un ballet créé à Lille en 1967 : Le Baiser. Il dirige les orchestres de la radio, de la télévision puis de nombreux théâtres(Mogador, Châtelet, Théâtre de Paris et province). C’est en 1954 qu’il aborde l’opérette sous la forme de comédies à couplets ; il compose ainsi pour Roger Nicolas Mon P’tit Pote (à Paris au théâtre L’Européen), qui restera à l’affiche plus de trois ans. Pour le célèbre amuseur, il écrira encore Bidule (1959) et À toi de jouer (1961). À partir de 1962, il aborde l’opérette traditionnelle, tout d’abord en offrant à Rudy Hirigoyen Farandole d’amour, qui se jouera en province. La grande consécration lui est fournie par Henri Varna : pour le Théâtre Mogador de Paris, et le duo Marcel Merkès-Paulette Merval, il compose Michel Strogoff (1964) et Vienne chante et danse (1967), dont on connaît la réussite. La capitale faisant ensuite grise mine à l’opérette, c’est en province, comme son collègue et ami Guy Lafarge, qu’il pourra encore s’exprimer : C’est pas l’Pérou (1977), Quadrille Viennois, où il ressuscite des airs de Franz von Suppé en ajoutant ses propres compositions ; La peur des coups, d’après Courteline, jouée au Grand-Théâtre à Tours (1977). Il compose encore, en collaboration avec Guy Lafarge, Le Petit Café (Mulhouse, 1980) et La Cagnotte (Lille, 1983) ; avec Paul Bonneau, La Parisienne (Tours, 1982). Enfin, il réunit la musique de divers compositeurs pour l’opérette Paris Belle Époque de Jean-Claude Delhumeau et Edgar Duvivier.

Grand ami de l’Académie Francis Poulenc, qu’il suit régulièrement, il a composé nombre de mélodies dont certaines ont été créées lors de stages de l’Académie ; ainsi son dernier cycle, sur des poèmes de Ronsard, Sur les sept âges de l’homme, dont la création a eu lieu le 17 avril 2011 au Prieuré Saint-Cosme, à La Riche.

 

Ambroise Ledru (1849-1935) dit Aris-Rudel – Prêtre du Diocèse du Mans, chanoine honoraire. Membre fondateur et Président de la Société historique de la province du Maine fondée au Mans en 1875 par un groupe d’érudits, chartistes, et archéologues. La Société recherche, étudie et fait connaître les événements, les monuments, les personnes qui ont contribué à façonner l’histoire et l’identité de l’ancienne province du Maine. Ambroise Ledru fait œuvre d’historien, d’archéologue et de généalogiste dans ses nombreuses œuvres et en particulier dans ses recherches sur la cathédrale du Mans.

Louis Léon LEDRU nait à Paris le 18 juin 1855 , fils de Ferdinand Louis, né en Pologne le 24/06/1818 et Madeleine Bach, La mariage a lieu à Paris 10° en 1850. Ses grands parents sont Nicolas Marc Ledru et Eve Walter qui semblent vivre en Pologne.. Louis Léon ‘installe à Liège (Belgique) en 1888 et entre aux Cristalleries du Val Saint-Lambert à Seraing (Belgique). Il meurt en Belgique le 10 janvier 1926. Il a épousé Alice Schouten (1866/1943). Deux enfants Madeleine (1899/1988) et Pierre (1900/1962). Pas de descendance mâle.

Auto portrait

Auto portrait

Artiste parisien de naissance, Léon Ledru est une personnalité aujourd’hui méconnue qui occupe une place clé dans la vie culturelle et artistique liégeoise de la Belle Epoque (fig. 1). Chef du service des créations aux cristalleries du Val Saint-Lambert de 1888 à 1925, Ledru est avant tout un artiste passionné aux multiples facettes. En effet, il excelle dans les techniques aussi diversifiées que la peinture à l’huile, le pastel, l’aquarelle, le dessin, l’estampe… Ses conceptions sont également transposées dans le cristal par les techniques du soufflage, de la gravure et de la taille.

pour en savoir plus

Robert Charles Ledru est un grand avocat catholique et républicain, que ses convictions ont conduit à adopter une attitude d’opposition au régime de Louis-Philippe, est l’objet des pressions d’un haut magistrat inconditionnel qui l’engage à ne pas mettre son talent au service d’un homme dont le gouvernement veut la tête à tout prix. – L’avocat passe outre et sauve cet homme. Marié à la comédienne Henriette Lévêque, il est mort ruiné sans postérité à Fontainebleau.

On retrouve l’origine de cette famille dans l’Artois depuis 1450 selon Didier Bouquet (généanet). C est une famille importante par ses alliances. Une Catherine Rose Ledru a épousé un conseiller du Roy.
Robert Charles est le fils de Joseph Ledru et de Victoire Bourdon. Son père fut fermier et producteur de sucre . Il fut maire de sa commune de Bullecourt  où Robert Charles est né en 1801;  il a 4 frères et sœurs. Son frère Hector semblerait être celui qui fut négociant en tubes pour le refroidissement et l époux d’ Adèle de Vignoy . Ils auraient habité Genève.  Leur fille Adèle Ledru, née le 15/06/1837 à Paris épousa m. Achille de Bournonville en 1857. De cette union naquit au moins une fille Hélène le 25/12/1860.

Hector Ledru eut un établissement à Marseille au 135 rue Paradis.

L’affaire Ledru relatée par l’avocat Pierre Antoine Perrod

L’affaire Ledru relatée par l’avocat Pierre Antoine Perrod

Auguste Isidore Ledru, (1837-1918) est un sculpteur français né à Reims, fils de Pierre Jacques Ledru et Marie Madeleine Galet.
De son mariage avec Elisa Closier, il eut au moins 5 enfants : dont l’ainé, Auguste (1860-1902)  fut un sculpteur ornemaniste , ami de Rodin ; Pierre (1862), Léon (1866) , Charles (1868) qui ne survécu pas, et Alice Augustine Ledru (1870 )

Etain d’art 1900 signé Ledru

Etain d’art 1900 signé A.Ledrufils

Alice Augustine Ledru fut l’épouse de René Lalique, artiste de génie qui a marqué l’Art nouveau avec ses bijoux et l’Art déco avec ses créations. verrières avec qui elle eut une fille Suzanne Lalique

Après le décès précoce d’Alice Ledru en 1909, René Lalique incite sa fille Suzanne à exprimer ses talents de dessinatrice. Il la sollicite régulièrement pour sa créativité  et son jugement. La période est féconde : Suzanne conçoit flacons et boîtes à poudre pour la Maison Lalique, crée pour la manufacture de Sèvres, que ce soit seule ou en collaboration avec son père. En 1913, elle expose pour la première fois au Salon des artistes décorateurs des aquarelles, modèles pour impressions sur étoffes.

Prise en affection par Louise et Eugène Morand, futur directeur de l’École nationale des Arts décoratifs, elle évolue dans un cadre quasi-familial aux côtés de Paul Morand et Jean Giraudoux. Eugène Morand l’initie à la peinture à l’huile. Giraudoux lui fait quant à lui découvrir les œuvres de Manet, avec ses noirs et ses gris dont elle jouera en virtuose dans ses compositions décoratives et, plus tard, dans ses peintures.

Par son mariage avec Paul Burty Havilland en 1917, Suzanne découvre une autre famille d’artistes. Son mari est photographe ; son beau-frère, Franck Burty Havilland, peintre et ami de Picasso ; son beau-père, Charles Edward Haviland, industriel de la porcelaine. Mais c’est pour la manufacture Théodore Haviland, dirigée par le cousin de son mari, que Suzanne crée ses services de table à partir de 1925.

Agis-Léon Ledru, né le 31 mai 1816 à Clermont-Ferrand et décédé le 5 octobre 1885 à Clermont-Ferrand. Il est le fils aîné de Louis Charles Ledru. Lui-même architecte, il a été maire de Clermont-Ferrand de 1870 à 1874.

Agis-Léon Ledru fait ses études à l’École nationale supérieure des beaux-arts de Paris. En 1844, il obtient le second Prix de Rome. Il devient architecte de la ville de Clermont-Ferrand, de 1846 à 1851, et architecte du département du Puy-de-Dôme. Comme architecte, Agis Léon Ledru construit l’établissement thermal de Royat[1], les Grands Thermes de La Bourboule[2], l’église paroissiale Notre-Dame-de-l’Assomption de Torsiac []et l’église Saint-Ferréol de Murol [.]

Il est inhumé au cimetière des Carmes de Clermont-Ferrand. Il était chevalier de la Légion d’honneur et officier de l’Instruction publique.

Il est le père de l’architecte Louis Antoine Marie Ledru Gaultier de Biauzat (1845-1866).

Maire de Clermont-Ferrand (1871-1874) ;

Conseiller général du Puy-de-Dôme (canton nord de Clermont-Ferrand) (1871-1880) ;

Président du Conseil général du Puy-de-Dôme (1874-1875) ;

Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ledru

Louis-Charles Ledru, né le 3 août 1778 à Paris et mort le 16 septembre 1861 à Clermont-Ferrand, a été architecte de la ville de Clermont-Ferrand, il a travaillé essentiellement en Auvergne. Il fait ses études d’architecture à Paris, à l’École des Beaux-arts, et il est par ailleurs l’élève de Jean-Nicolas-Louis Durand. Il s’installe dans le Puy-de-Dôme vers 1807. Il épouse le 12 juillet 1815 à Clermont-Ferrand Émilie Abraham (1795-1883), dont le grand-père maternel était Jean-François Gaultier de Biauzat, député aux États généraux et au Conseil des Cinq-Cents et premier maire de Clermont-Ferrand après la Révolution. ( Abraham est le nom d’une cité près du Mans et on retrouvera ce nom à Mesland)

En 1841, il est nommé chevalier de la Légion d’honneur. Il cesse progressivement son activité à partir de 1845 et il est remplacé par son fils Agis-Léon. Il meurt en 1861 et est inhumé au cimetière des Carmes de Clermont-Ferrand.

L’œuvre de Louis-Charles Ledru s’inscrit dans le style néo-classique du début du XIXe siècle et allie l’élégance à une certaine austérité, accentuée par l’emploi très systématique de la pierre de Volvic. Il laisse peu de place à l’ornementation ; cependant, à l’intérieur de l’établissement thermal du Mont-Dore, il opte pour un parti-pris moins sévère et plus décoratif, avec des arcades présentant une alternance de claveaux blancs et gris soutenues par des colonnes de porphyre vert que couronnent des chapiteaux corinthiens ; ce décor néo-byzantin peut être compris comme un rappel des origines du lieu, où l’on peut voir des vestiges des thermes romains.

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Intérieur des thermes du Mont-Dore

Son père Pierre Charles est propriétaire à Paris. Il est décédé (1814) au moment du mariage de son fils. Sa mère Louise Féron réside à Paris.

François Roch Ledru des Essarts frère d’André Pierre Ledru, né à Chantenay (Sarthe) le 16 août 1765[] et mort le 23 avril 1844 dans sa propriété de Champrosay (commune de Draveil) près de Paris.

Il étudia sous les Oratoriens et entra au service comme volontaire en 1792. Capitaine à Lille au moment du bombardement, il fit la première campagne de Hollande, combattit à Hondschoote et à Wattignies. Nommé chef de bataillon, il se trouva en ligne devant Charleroi et au siège de Maëstricht, au blocus de Mayence, au passage du Tagliamento et à la prise de la forteresse de Gradiska en 1797. Après le traité de Campoformio, il fit avec le 55e de ligne, sous Championnet, la campagne des Abruzzes. Il commandait ce régiment à la prise de Modène, à la bataille de la Trébia, où il fut blessé et nommé colonel. Après s’être partout distingué dans la campagne suivante sous Masséna, il conduisit son régiment à Flessingue, que les Anglais menaçaient, puis au camp de Boulogne, où il reçut la croix d’officier des mains de l’Empereur.

À Austerlitz le 55e fermant la gauche du 4e Corps avec le 43erégiment sous la conduite de l’intrépide colonel, fit des prodiges de valeur et s’empara de 14 bouches à feu et d’un grand nombre de prisonniers. Il est vrai qu’il eut 300 hommes hors de combat. Le colonel Ledru fut promu au grade de général de brigade le 24 décembre 1805.

Le 6 février 1807, le général Ledru des Essarts soutint près de Hoff un combat meurtrier contre un régiment d’infanterie russe et de nombreux escadrons, repoussa six charges de cavalerie, prit quatre bouches à feu, et eut deux chevaux tués sous lui. Le 8 eut lieu la bataille d’Eylau; le général Ledru y fut grièvement blessé et porté hors du champ de bataille comme mort. On sait que le maréchal Ney, prévenu trop tard, ne put prendre part à la bataille.

Le 10 juin suivant, dans les environs d’Heilsberg, le général Ledru reçut l’ordre de faire former en carré par régiment, l’artillerie au centre, sa brigade qui faisait partie du corps de Soult, pour la faire manœuvrer et marcher en avant, enveloppée comme elle l’était de masses compactes de cavalerie russe. Les choses avaient pris une telle tournure que les maréchaux Soult et Masséna, le général en chef Lasalle, les généraux de division Despagne, Belliard, les généraux de brigade et plus de cent officiers d’état-major de tous grades, se trouvèrent heureux de chercher un refuge au milieu de ce petit carré.

Pendant la campagne de 1809, le général Ledru commanda la brigade d’avant-garde du corps de Masséna, passa la Traun au pont d’Ebersberg sous le feu soutenu des Autrichiens, et après un combat sanglant força le château de se rendre et ouvrit le passage aux Français. Il combattit pendant deux jours à Gross-Aspern, forma l’arrière-garde à Essberg et entra le dernier dans l’île de Lobau. Il fut grièvement blessé près d’Aspern par une balle qui lui traversa le cou.

Le général Ledru reçut le 31 juillet 1811 le brevet de général de division et le commandement de la 1re division du corps de Ney, qui partait pour la campagne de Russie. Le 2 août il s’empara de Krasnoé; il prit une part glorieuse à la bataille de la Moskowa, où les Russes avaient 30 généraux hors de combat et perdirent 37 000 hommes, et assista à tous les combats que l’arrière-garde française eut à soutenir depuis Moscou jusqu’à la Vistule.

En 1813 il fit partie du 11eCorps et prit part aux batailles de Bautzen, Wurtzen et Leipzig. À la bataille de Hanau il dut combattre un corps bavarois et le rejeter hors d’un grand bois dont il interceptait le passage. Sa conduite pendant la campagne de 1814 ne fut pas moins glorieuse où il participa notamment aux batailles de Claye, de Villeparisis et de Paris.

Après la Restauration, le général Ledru fut nommé chevalier de Saint-Louis et grand officier de la Légion d’honneur. En 1815 il reçut un commandement dans l’armée des Alpes sous les ordres de Suchet.

En 1817 il fut chargé d’organiser trois régiments suisses que la France venait de prendre à sa solde. En 1819 il fut chargé du commandement de la 7e division à Grenoble, puis employé dans l’inspection générale de l’infanterie et a été nommé Pair de France après la révolution de Juillet 1830 (4 septembre 1835) et admis à la retraite.

Son nom est inscrit au côté Sud de l’arc de triomphe de l’Étoile.

Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ledru

 

         Figure Blasonnement
 Blason_fr_Ledru_des_Essarts Armes de la famille Ledru des Essarts :

D’argent, à trois lions léopardés de gueules, l’un sur l’autre.

 

André Pierre Ledru, général et historien, né à Chantenay (Sarthe) le 22 janvier 1761 est le fils de Jean Ledru (1755/1813) notaire et de Françoise Madeleine Lenoir (1755/   ). Il entra fort jeune dans l’état ecclésiastique. Il était vicaire au commencement de la Révolution française, et, comme beaucoup d’autres dans la même position, il en adopta les principes, persuadé qu’elle lui fournirait les moyens de s’élever. C’est dans cette vue, sans doute, qu’il prêta serment à la constitution civile du clergé en 1791. Il fut en effet nommé, la même année, curé de la paroisse du Pré, au Mans. Lors de l’abolition absolue de toute religion, en 1793, Ledru se retira au sein de sa famille ; mais la guerre civile, qui désolait le département de la Sarthe, et surtout la haine du parti royaliste pour tous les prêtres assermentés, mettant sa vie en danger, il se réfugia à Paris, et obtint du directoire d’être associé, comme botaniste, à l’expédition du capitaine Nicolas Baudin aux îles Canaries et aux Antilles. Il soutint les fatigues de ce long voyage, et ne cessa de prendre des notes utiles.

Lors de son retour en France en 1798, il fut nommé professeur de législation à l’école centrale de la Sarthe, et joignit à l’enseignement de cette science celui de la physique, dont la chaire était vacante. Il participa à la campagne d’Égypte, de Prusse où il fut blessé lors de la bataille d’Iéna (1806), à la campagne de Russie comme général de la grande armée avec le Maréchal Ney (1812, 1813). Retourné au Mans, Ledru y vécut dans la retraite, ne s’occupant plus que d’objets scientifiques, littéraires et historiques, et il mourut dans cette ville vers 1830. L’herbier qu’il a constitué pendant ses voyages aux îles et une partie d’objets apportés des fouilles françaises en Égypte se trouvent au musée de l’Évêché du Mans. Il était membre de la société royale des arts du Mans, de celle des antiquaires de France, du musée de Tours et de la société littéraire de Nantes.

Augustin Pyrame de Candolle lui a dédié un nouveau genre, de la famille des ombellifères, sous le nom de drusa (Annales du muséum, t. 10).

Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ledru

André- Jean Ledru (1731/1813), père d’André Pierre et François Roch était donc notaire royal à Chantenay-Villedieu près du Mans.  Sa réception comme notaire à Chantenay fut faite au mans en 1759. Il épousa l’année suivante Françoise Madeleine Lenoir (1736/ ) de la paroisse de Parigné-l’Eveque en Sarthe. Ils eurent en plus des deux frères cités un autre enfant François mort à 1 an et une fille Françoise qui épousa un dénommé LePron.
Cette famille est sarthoise, proche du Mans, et c’est une famille de juristes : avocats et notaires bien qu’André Pierre LeDru le grand père  lors de son mariage avec Mathurine Charron, (ou peut-être Chiron) fille de marchand, est dit tailleur d’habits à Bouloire.. Puis devient marchand et ensuite notaire royal. Sa fille Marie Julienne épouse Pierre Lebert, aussi notaire royal.

Cette famille devrait être apparentée avec les Ledru de Belin.

Compte tenu de la proximité avec Montoire, et si sa femme est bien née Charron, il y a des fortes présomptions que nos Ledru de Montoire soient apparentés avec cette branche.  Le mariage de Noel ledru avec Renée Charron pourrait le démontrer si les archives étaient retrouvées

Hilaire Ledru (z) né le 19 février 1769 à Oppy (Pas de Calais) et mort le 2 mai 1840 à Paris, est artiste peintre. Ce village regroupant 395 habitants est situé entre Arras et Douai, à la limite entre le bassin Parisien et la plaine du Nord, c’est-à-dire une zone de passage et fut utilisé au fil des siècles par les populations nomades, les marchands voire des envahisseurs.

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Tableau signé Ledru

Fils de Nicolas Philippe Ledru, charpentier et de Anne Joseph Barbier, il garde des troupeaux pendant sa jeunesse. Il apprit à lire seul et montra de bonne heure des dispositions singulières pour l’art du dessin. Faute de crayons, en raison de sa pauvreté, il se mit à écrire et à dessiner sur la poussière avec une baguette puis à charbonner des portraits sur les murs blanchis de chaux de la maison paternelle.

Le seigneur du lieu, Delahaye de Gricourt, ayant deviné ses promesses de talent, le plaça à l’Académie de dessin de Douai où il eut comme professeur le peintre Caullet. Il y fit de rapides progrès et alla ensuite à Paris achever de sérieuses études sur la peinture. Il connut des succès, et des hommes haut placés l’encouragèrent, mais son imprévoyance lui fit négliger le soin d’amasser un peu de fortune pour les jours malheureux. Il revient à Douai pour se marier avec Marie-Anne Durand. À sa mort à Paris au no 6 boulevard Poissonnière, il est enterré au cimetière Montmartre.

Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ledru